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Le Pelican Rouge
15 juillet 2020

La puissance des avions furtifs

Cet avion furtif de dernière génération fait partie des plus modernes actuellement en service. Il est également célèbre outre-Atlantique pour le retard de son programme de développement et l'envolée budgétaire qui en a découlé. Il a été développé et financé par une dizaine de pays de l'OTAN. Le Parlement veut soumettre au peuple la question de l'acquisition des avions de combat. Après le National, le Conseil des Etats a adopté par 22 voix contre 18 une motion du groupe bourgeois-démocrate en ce sens. Le texte exige que le peuple suisse puisse se prononcer rapidement sur l'achat de nouveaux avions de combat. La question devrait être tranchée indépendamment du type d'avion, de la quantité et du coût du matériel, et s'effectuer dans le cadre du budget de l'armée. S'ils ne contestent pas la nécessité de remplacer les avions actuels, les sénateurs se sont toutefois écharpés sur la voie à emprunter. Pour la majorité, l'adoption du texte renforce la démarche du Conseil fédéral. Les acquisitions d'armement ne sont pas soumises à référendum. Toutefois, vu l'ampleur du renouvellement des moyens de protection, le gouvernement a choisi la voie d'un arrêté de planification soumis à référendum.

Mikoyan-Gourevitch MiG-31 (code OTAN : « Foxhound ») est un intercepteur d'origine soviétique (actuellement russe). ], à partir d'un avion destiné aux études sur le MiG-25 : le E-155M (« E » pour « Experimentalnyi », expérimental). Le Foxhound était construit à Nijni Novgorod. Initialement, l'avion portait le nom de MiG-25MP (projet 83 au sein de l'OKB MiG). Il était destiné à l'interception de tout type de cibles (chasseurs, bombardiers et missiles de croisières) à haute et basse altitude. Il reçut des turboréacteurs D-30F, version modernisée du Soloviev D-30 qui équipait le Tu-134. ], voire 5 ou 10 ans supplémentaires, si l'on en croit les dires prononcés le 30 août 2013 par le chef de la force aérienne, le général Viktor Bondarev. ]. Bien qu'aucun nouvel avion n'ait été produit depuis plus de dix ans, la Russie disposait encore de nombreuses structures partiellement achevées, vol en avion de chasse Rennes qui furent terminées pour la livraison au Kazakhstan. Au Sud-Ouest de la Suède, c’est dans la ville de Linköping que le constructeur Saab a établi ses lignes de production du Gripen. Depuis des mois, le constructeur suédois s'est engagé dans une compétition ardue. Une compétition pour remplacer les F-16 belges vieillissants. Malgré les jeux d'influences et les campagnes pour critiquer ce chasseur, la compagnie suédoise présente le Gripen dans sa nouvelle version. Un avion annoncé comme un chasseur intelligent, un smartfighter. Lars Ydreskog, chef des opérations chez Saab. De l'aveu même de Saab, entre le nouvel avion et sa version précédente, on ne voit peu de différences de l'extérieur. Mais c'est bien à l'intérieur du chasseur que les changements ont eu lieu. Développé depuis dix ans, le Gripen E est plus grand, plus puissant et dispose désormais de nouveaux radars, logiciels, et capteurs de dernière génération. Mikael Olsson, pilote test chez Saab. Le Gripen E de Saab est certainement l’avion le plus modeste parmi les candidats retenus par la Défense belge pour remplacer les F-16.

Ces apex engendrent de très forts tourbillons qui permettent de réduire la traînée sur le dessus des ailes, au prix cependant d'une légère traînée supersonique. Ils confèrent ainsi une plus grande surface alaire, diminuent la charge alaire, accroissent la portance ainsi que la manœuvrabilité. Les apex du Fulcrum sont particulièrement efficaces aux angles d'incidence importants, et ils améliorent l'écoulement d'air dans les entrées d'air des réacteurs. Pour poursuivre sur l'armement, le MiG-29 "9.12" peut emporter deux missiles air-air moyenne portée R-27R et quatre R-73 ou R-60M courte portée à guidage IR. Le Fulcrum est propulsé par deux réacteurs à double flux Isotov (devenu ensuite Klimov) RD33 de 5040 kgp unitaire et 8340 kgp avec postcombustion. Ces réacteurs affichent une importante puissance massique, en particulier au moment de la réchauffe. 60°C et jusqu'à 200°C en vol. Sa consommation spécifique est de 2,05 kg/kgp.h avec postcombustion et 0,77 kg/kgp.h à sec. Les apex abritent, en plus du canon, le système de soufflante de la couche limite des entrées d'air ainsi que les entrées d'air auxiliaires. Dimensions: - Longueur hors tout : 172.8 m - Largeur maximale : 23.2 m - Tirant d’eau : 11.5 m - Déplacement : 23.200 t en surface, 33.800 t en plongée. 600 m - Vitesse maximale : 25 nœuds en plongée, 12 nœuds en surface. Rayon opérationnel : illimité - Autonomie : 120 jours (4 mois) en plongée. 2 réacteurs nucléaires développant 100 000 cv. Dans les années 70, les américains développent de nouveaux sous-marins (classe Ohio) et y désirent installer les nouveaux missiles balistiques de type « Trident ». Inquiet par l’avance technologique des américains dans la construction de nouveaux missiles, les dirigeants de l’union soviétique décide alors d’étudier la construction d’un nouveau sous-marin en réponse à cette nouvelle menace. L’union soviétique construira les plus gros sous-marins au monde l’Akula. Le cahier de charge du Typhoon oblige les ingénieurs à faire preuve d’ingéniosité. Le titane permet justement de pouvoir allier légèreté et solidité. Ces propriétés permettront donc au sous-marin de briser la glace mais aussi résister à la pression de l’eau. Cependant, bien que la Russie soit le 1er exportateur de titane au monde, il reste cependant l’un des métaux les plus chers.

L’entreprise valencienne concentre 58,2% de l’exportation de tuiles de la Communauté Valencienne. Après s’être consacrée comme entreprise leader en Espagne dans la fabrication de tuile céramique, avec une quote-part de marché de 18%, la société valencienne Tejas Borja consolide son expansion sur les marchés extérieurs. La présence de Tejas Borja sur le marché international s’est consolidée progressivement. L’expansion de Tejas Borja à l’étranger au cours des dernières années a été imparable grâce à sa politique d’exportation ambitieuse. Dans un premier temps, sa stratégie s’est centrée sur la France, un pays avec une forte tradition sur ce marché et le Portugal. Les bons résultats obtenus incitèrent la société à étendre son activité au reste de l’Europe et à s’introduire sur le marché américain, avec l’implantation d’un centre logistique aux Etats-Unis. C’est au milieu du XXe siècle que Francisco Ramón-Borja Sempere fonda sa première usine. Tejas Borja innove constamment, mais ce qui reste inaltérable est sa philosophie: offrir des toitures en terre cuite avec la meilleure qual ité du marché. ↑ Williams 2002, p. Le DDM-NG : un détecteur de départ missiles, mais pas que! ↑ a et b « Premier déploiement opérationnel pour le pod Damoclès sur Rafale Marine », sur Mer et Marine. ↑ a b et c Cour des comptes, « La conduite des programme d'armement », Rapport public annuel, février 2010 (lire en ligne). ↑ Daniel Reiner et Xavier Pintat, « Projet de loi de finances pour 2012 : Défense : équipement des forces : IV. ↑ Daniel Reiner, Xavier Pintat et Jacques Gautier, « Projet de loi de finances pour 2013 : Défense : équipement des forces et excellence technologique des industries de défense : Chapitre IV. ↑ Daniel Reiner, Xavier Pintat et Jacques Gautier, « Projet de loi de finances pour 2014 : Défense : équipement des forces et excellence technologique des industries de défense : Chapitre IV. ↑ Cour des comptes, « Le maintien en condition opérationnelle des matériels militaires : des efforts à poursuivre », rapport public thématique, 29 septembre 2014 (lire en ligne).

Le facteur industriel joue également un rôle pour les États dénués d’industrie nationale : la question sera alors davantage celle du prix des appareils et des compensations qu’un gouvernement recevra d’une entreprise en contrepartie du contrat (offset). En ce sens, la question des négociations autour du prix et des avantages pour les industries nationales existe également pour ces pays. Pour comprendre un choix de l’avion X, il est important de connaître le rôle des facteurs industriels et stratégiques dans les choix des gouvernements en matière d’avions de combat. La politique d’armement constitue ainsi aussi la base des affaires compensatoires liées aux acquisitions de biens d’armement à l’étranger. Le Conseil fédéral a décidé que le 100% du prix d’achat devait en principe être compensé en Suisse (garantie d’Etat à Etat). Les décisions prises jusqu’ici par le Conseil fédéral dans le cadre du projet d’acquisition du prochain avion de combat et d’un nouveau système de défense sol-air s’inscrivent dans cette ligne. Le Conseil fédéral est convaincu que les affaires compensatoires permettent aux entreprises suisses d’accéder à un savoir-faire et aux marchés pertinents. Afin de garantir la transparence autant que possible, ces affaires compensatoires seront répertoriées dans un registre consultable par le public. Autrement dit, nous aurons une limitation de choix principalement due au montant total qui nous impose un nombre d’équipement limité et certainement pas les plus onéreux. Par contre, la provenance des futures systèmes aura un double impact. D’une part, il aura une influence sur les partenariats en matière d’entraînement de nos soldats en Europe et/ou aux USA voir Israël et le second concernera les rapports industriels et le développment du marché pour notre industrie civiles. En effet, la résultante du choix ne sera pas la même, si nous choississons le tout européen ou américain ou bien, si nous optons pour un mixte USA/Europe/Israël. Là encore le choix aura une raison stratégique qu’il faut définir et qui aura impact au niveau militaire certes, mais surtout au niveau de notre économie.

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